On a tellement de choses à dire et à vous faire écouter que l'on consacrera 3 billets à cette scène.
On espère que vous prendrez autant de plaisir à les découvrir (ou redécouvrir) que l'on en a pris à les réécouter pour écrire ses lignes.
Frank
-------------
Le courant Paisley Underground est né au début des années 80 en Californie à Los Angeles. La signification du terme Paisley Underground est assez confuse et encore sujette à polémique. La plus connue, et la plus a propos, vient d'un jeu de mot de Michael Quercio des Three O'Clock : Paisley ferait référence au fameux "Peace & Love" par opposition à la scène punk hardcore assez vivace à la même époque en Californie.
Musicalement, si les groupes qui les composaient oeuvraient dans des styles différents, un fonds commun se dégage : amour des harmonies vocales, place importante laissée aux guitaristes et au jeu de guitare claire marquant une rupture avec le punk rock, renouveau du folk rock et surtout du psychédélisme. D'ailleurs on catalogue souvent les groupes du Paisley Underground comme appartenant au "neo psychedelia" même si cela apparaît quelque peu réducteur.
Leurs héros ? les groupes du coffret Nuggets I, les Byrds, Graham Parson, Creedence, Velvet Underground, Neil Young, les Doors, Buffalo Springfield...etc...
Et surtout, ce qui d'ailleurs semble être devenus une norme en Californie, les musiciens avaient pour habitude de jouer les uns avec les autres dans une ambiance de franche camaraderie. D'ailleurs ces derniers avaient pour habitude de se retrouver autour de barbecues géants (http://www.popmatters.com/music/features/020430-paisleyunderground.shtml).
Preuve de cet esprit, et que tous ces groupes formaient bel et bien une vraie scène, le groupe Rainy Day. Sous ce nom, on retrouve des musiciens de l'ensemble des groupes du mouvement paisley Underground, et auront enregistré tous ensemble un album entier de reprises, joué live en 1984 et sur lequel ils reprennent, Dylan, Beach Boys, Buffalo Springfield, Big Star, Velvet Underground, Who et Jimi hendrix (http://www.allmusic.com/album/rainy-day-r16088).
DREAM SYNDICATE & STEVE WYNN :
Puisqu'il faut bien commencer par un groupe, on commencera par le Dream Syndicate groupe formé autour de Steve Wynn figure emblématique du mouvement et qui d'ailleurs tourne encore aujourd'hui avec ses Miracle 3.
C'est à l'université que se rencontre Steve Wynn et Kendra Smith (les deux jouent avec Russ Tolman et Gavin Bair futur True West au sein de The Suspects). Quand ils décident de fonder Dream Syndicate, ils sont rejoints par Karl Precoda et Dennis Duck.
C'est sous ce line-up que le groupe enregistre en 1982, un premier EP éponyme et surtout l'extraordinaire The Days Of Wine And Roses. Cet album magistral qui sonne toujours aussi bien aujourd'hui est un monument du rock, réussissant à capter l'essence du garage rock, la fougue héritée du punk rock et l'héritage de Neil Young.
(http://www.deezer.com/fr/#music/the-dream-syndicate/the-days-of-wine-and-roses-digital-version-82568)
Ce disque somptueux sera le seul avec le line up originel, Kendra Smith quittant le groupe pour former Opal avec David Roback de Rain Parade.
2 vidéos au son pas terrible mais les vidéos du groupe sont rares sur le net, le mieux est d'écouter les liens deezer :
La suite de la discographie du groupe reste toutefois passionnante : Medicine Show sorti en 1984 même s'il est d'une qualité inférieure à Days Of Wine And Roses est un très bon album, Out Of Grey a contrario est un album bancal sur lequel le groupe s'essouffle. De plus en plus, au gré des changements de personnels, le groupe se résume bien vite à Steve Wynn. Pourtant la fin de la discographie du groupe mérite sérieusement que l'on s'y intéresse.
Ainsi, le groupe va sortir en 1988 un album d'un grand classicisme mais également d'une rare qualité, le trop méconnu Ghost Stories qui est un des grands albums de cette décennie. Steve Wynn y fait la démonstration de son talent et surtout fait preuve d'un rare talent d'écriture.
Sur ce disque les joyaux sont nombreux : "See That My Grave Is Kept Clean ; "Weathered & Torn" ; "The Side I'll Never Show"...
(http://www.deezer.com/fr/#music/the-dream-syndicate/ghost-stories-338498)
La preuve que Steve Wynn a toujours la pêche, version de "The Side I'll Never Show" enregistré en 2010 :
Ce disque est suivi du Live At The Raji's qui fait la démonstration de la puissance de feu du groupe sur scène. Deux disques que l'on conseille vivement de se procurer.
(http://www.deezer.com/fr/#music/the-dream-syndicate/the-complete-live-at-raji-s-338491)
Si la carrière solo de Steve Wynn est plus erratique on recommandera néanmoins :
Kerosene Man (1990) son premier album solo dans la même veine que Ghost Stories.
(http://www.deezer.com/fr/#music/steve-wynn/kerosene-man-362505)
The Lost Weekend album country/folk sorti avec Dan Stuart de Green On Red sous le nom de Danny & Dusty, et un backing band qui force le respect : Chris Cacavas de Green On Red, Sid Griffin & Tom Stevens des The Long Ryders, et Dennis Duck du The Dream Syndicate.
Weasel sous le nom de Gutterball avec des membres des Long Ryders et notamment Stephen McCarthy.
(http://www.deezer.com/fr/#music/gutterball/weasel-870679)
GREEN ON RED :
Autre groupe majeur du mouvement les Green On Red de Dan Stuart, groupe initialement de Tucson dans l'Arizona où il se forme en 1981 mais qui aura fait l'essentiel de sa carrière à Los Angeles. Plus roots que les Dream Syndicate, les Green On Red étaient profondément ancrés dans le country rock (mâtiné comme il se doit d'éléments psychédéliques). Pourtant si le groupe jouit d'une certaine renommé c'est pour son Here Come The Snakes sorti en 1988, album que Dan Stuart lui même déteste et qui pourtant reste comme leur seul succès et le seul régulièrement cité dans les magazines "spécialisés" comme un trésor caché du rock US... Et pourtant on ne recommandera pas ce disque, archétype de ces disques trop vite montés au pinacle et qui se révèle avec le recul assez creux.
Tout cela est fort dommageable car le reste de leur discographie vaut largement le détour : Gravity Talks (1983) splendide premier album et Scapegoats (1991) sont ainsi deux excellents disques.
Les points forts du groupe : le clavier Chris Cacavas qui n'est pas sans rappeler un certain Ray Manzarek (Doors) en un peu plus sobre et le jeu de très folk du guitariste Dan Stuart.
A noter que Green On Red sera rejoint à partir de 1985 par le guitariste Chuck Prophet et le batteur Keith Mitchell (futur Mazzy Star). De quoi sérieusement remonté la côte de ce groupe injustement oublié pour ce qu'il était : un excellent groupe de country/folk qui par bien des apects préfigure bien ce que l'on appellera dans le giron de l'indie-rock, l'americana.
THE LONG RYDERS :
Les Long Ryders c'est en quelque sorte les gardiens du temple, les plus "roots" de la scène paisley underground. Ravivant les fantômes de Gram Parsons et des Byrds en les secouant avec l'énergie hérité du punk rock.
D'ailleurs leur nom vient d'un film (The Long Riders) de Walter Hill et dont ils ont remplaçé le i par u y en hommage aux Byrds.
Mené par Stephen McCarty le groupe présente la particularité d'être composé de multi-instrumentistes, leur permettant d'agrémenter leurs compositions de banjo, mandoline, harpe ou même du fameux bugle !
Si les Green On Red préfiguraient l'americana, les Long Ryders avait quelques années d'avance sur le revival country des années 90's.
Le groupe aura sorti deux albums indispensables : Native Sons (1984) et State Of Our Union (1985) qui devraient faire succomber les fans des Byrds, de Buffalo Springfield ou des Flying Burritos Brothers.
A noter que gene Clark vient même pousser la chansonnette sur "Ivory Tower" (Native Sons).
Le groupe se composait à cette période de Sid Griffin (ex The Unclaimed), Stephen McCarthy, Greg Sowders et Des Brewer ets 'est formé en 1982 avant de splitter une première fois en 1987.
A noter qu'au tout début du groupe, le guitariste était Steve Wynn qui partira fondé le Dream Syndicate et sera donc remplacé par Stephen McCarthy.
Malgré d'évidentes qualités le groupe n'obtiendra qu'un succès d'estime et ce malgré quelques soutiens de poids comme le Melody Maker qui qualifia Native Sons comme un "Modern American Classic", ou REM qui déclara à l'époque “soon as we get through making the Replacements famous you guys are next!”...
Et pourtant que de groupes devraient payer leur tribut aux Long Ryders : Wilco, The Jayhawks et même dans une moindre mesure Giant Sand auxquels ils ont ouverts la voie.
On promet la suite pour très bientôt...
Très intéressant et informatif sujet, j'ai découvert les green on red, j'ai déjà 3 lp qui ne sont pas cités ici, j'aime beaucoup ce groupe.
RépondreSupprimerVous avez ensencé l'album here comes the snake, il n'y a pas si longtemps, et c'est comme ça que j'ai découvert le groupe, qu'est ce qu'il est en ait vraiment de cet album?
Je vais m'informer sur les autres albums cités notamment le dream syndicate dont on m'a dit le plus grand bien.
On attend la suite du topic.
Bonjour et merci.
RépondreSupprimerJe ne me souviens pas avoir encensé Here Come The Snakes mais bon... :-))
Enregistré à Memphis en 1989 avec des musiciens de Tav Falco et Alex Chilton, l'album est assez représentatif du "son" de la scène de Memphis mais très éloigné de ce que les Green On Red ont pu faire avant et après. On peut pas dire que le travail de Glyn Jones connu pour avoir travaillé avec les Stones et choisi pour donner une coloration Let It Bleed à l'ensemble ait été pertinent.
Non définitivement ce disque à la réécoute tombe à plat plombé par une production qui plombe les compositions de Stuart.
Un Stuart qui déclara même que "le résultat était foireux"... c'est dire.
La conséquence fut d'ailleurs l'enregistrement de Scapegoats dans la foulée à Nashville avec Al Kooper et un retour à des sonorités plus traditionnelles.
Concernant Dream Syndicate attends toi (on peut se tutoyer?) à une claque ! C'est tout simplement l'un des plus grands groupes des années 80's !
Frank
Salut Frank,
RépondreSupprimerIl me semble avoir vu cela dans la time machine il y a quelques mois.
Maintenant , j'ai le doute mais je suis presque sûr, et de toute façon ce n'est pas bien grave.
Pour le dream syndicate j'aimerai trouvé cela en vinyle , peut-être à londres ou aux US, merci des conseils et surtout continuez comme ça , le blog est super même si je sais que cela prend pas de temps.
le premier dream syndicate est génial, sûrement l'un des disques les plus viscéraux de son époque
RépondreSupprimersuperbe!
pour ma part je l'ai trouvé en vinyle en pressage français à Paris, à plus de bruit de mémoire (meilleur spot de paris pour choper les 33 tours paisley underground, j'y ai aussi trouvé le premier rain parade)
par contre je préfère la pochette us
connais pas Here Come The Snakes, et comme je suis contrariant ça me donne envie de l'écouter ;°p "musiciens de Tav Falco et Alex Chilton", y'a qui ? AMG ne signale que Rene Coman (aussi sur This Time Around), et Dickinson aux manettes - le boulot de ce dernier n'a pas dû laisser trop de mauvais souvenirs à Prophet en tous cas, puisqu'il l'a invité trois ans après pour les concerts de A Thousand Footprints in the Sand (que j'adore)
RépondreSupprimerretour au sujet lui-même : vous comptez couvrir le cowpunk aussi, ou juste le Paisley Underground strict ?
Incapable de te redonner le lineup exact de Here comes The Snakes pour la bonne et simple raison que j'ai perdu ce disque (enfin disons qu'on ne me la jamais rendu)...
RépondreSupprimerPour l'instant je compte m'en tenir au Paisley Underground strict mais c'est vrai que un sujet sur le cowpunk, l'autre grande scène de Los Angeles (et de San Diego) de l'époque ça peut le faire !
Le hic c'est que j'ai pas encore tout digéré...
Mais c'est vrai que avec l'arrivée de Chuck Prophet les Green On Red ont un pied aussi dans le cowpunk.
De même difficile de cerner exactement les limites du genre : Beat Farmers, Blodd On The Saddle, Cramps, Gun Club ok. Mais on trouve aussi Blasters, Los Lobos, The Knitters et Lone Justice moins "punk" mais aussi Rank And File et Wall Of Voodoo plus new wave...
J'ai plus de mal qu'avec le Paisley où la scène tient notamment grâce à l'émergence de personnalités fortes et des musiciens qui jouaient dans les groupes des uns et des autres.
Mais je vais creuser l'idée !
Frank
ça arrangerait bien ma flemme ;°p - j'aime bien le peu que j'ai entendu côté Beat Farmers & Blood on the Saddle, mais je connais pas assez cette scène. un peu surpris que tu mettes Cramps et Gun Club dedans, j'y voyais plus Blasters et Los Lobos en effet. les 4 autres j'ignore totalement...
RépondreSupprimermais je me trompais dans mon impression qu'il y avait quand même eu des croisements & influences avec le Paisley U ? je le connais encore plus mal, si c'est possible...
Oui je suis d'accord, les Cramps c'est du psychobilly (enfin...à leur sauce parce que tout le monde sait que "only THE METEORS are pure psycho" :))
RépondreSupprimerPutain ce nom, "cowpunk", je ne connaissais même pas...Y en a qui font un concours de nom de style de musique le plus laid ?
Franchement au bout d'un moment c'est n'importe quoi toutes ces cases où il faut faire rentrer absolument tel ou tel groupe.
Quand il y a une cohérence, lorsqu'il y a une scène spécifique à un moment donné à un endroit précis...Je veux bien. Sinon ça reste bon pour alimenter les conversations de puristes à 3h du mat' avec 2 grs dans chaque bras ;)
Bon alors on va prendre dans l'ordre :
RépondreSupprimer- les Cramps ont été les premiers à qualifier leur musique de "psychobilly" (mélange de punk et de rockabilly) même si ensuite ils préfèreront simplement le terme générique Rock And Roll.
Pour autant le terme sous l'influence des Meteors (autoproclamé inventeur du psychobilly) a servi à qualifier tout un courant musical né au Royaume Uni !
C'est là tout le sel de l'histoire : le monde a découvert les Cramps après que le courant psychobilly soit né.
De plus l'influence du garage rock dans la musique des Cramps les rendent différents (et aussi plus interessant) que la plupart des groupes psychobilly.
- Concernant le cowpunk il s'agit d'un mélange de punk rock et de sonorités plus roots notamment blues, country et western. Il a servi à désigner une scène qui a émergé au début des années 80's en Californie au même moment que le Paisley Underground.
A ce titre le terme de cowpunk est à prendre pour ce qu'il est : le nom d'une scène spécifique à un endroit précis :-))
- Pour finir, vu l'activisme des Cramps et du Gun Club à Los Angeles à l'époque ils ont servi de figures tutélaires.
Ensuite Los Lobos, Blasters, Beat Farmers, Blood On The Saddle, The Knitters et Lone Justice mais aussi quelque part les débuts des Rank And File et Wall Of Voodoo ont tous contribué à créer cette scène.
Frank
A partir du moment où tu retrouves PLEIN de noms de groupes à la fois dans le cowpunk, dans le psychobilly et dans dieu sait quoi encore...ben c'est pas une scène cohérente, na !
RépondreSupprimerPutain c'est qu'il me ferait un cours d'histoire sur le psychobilly le saligaud...T'aurais mieux fait de m'accompagner pour le concert de REVEREND HORTON HEAT !
les Meteors, c'est ze psychobilly pour un européen - les critiques américains, il me semble qu'ils vont aussi facilement penser Mojo Nixon, Horton Heat voire Tav Falco. Mojo Nixon, lui, a flirté avec le cowpunk pas mal
RépondreSupprimery'a quand même une scène et un style cowpunk cohérent (et pas si punk que ça au son, d'ailleurs), j'ai l'impression, que tu peux en bonne partie retrouver autour de Country Dick Montana, mais comme elle est très liée à une période, y'a plein de gens comme Katy Moffatt ou Dave Alvin qui ne le sont pas du tout quelques années plus tôt ou plus tard, je crois, à supposer que je ne me fourvois pas en ce qui les concerne.
C'est ça, les critiques américains ont tendance à mélanger psychobilly et cowpunk. Le psychobilly c'est plus attaché à un genre. Le cowpunk s'en nourri notamment dans la démarche pas dans le son.
RépondreSupprimerLe cowpunk pour moi c'est Los Angeles 1980-85.
c'est la double influence psychobilly/cowpunk qui amènera des groupes comme Reverend Horton Heat ou Supersuckers.
D'ailleurs Reverend Horton Heat se forme en 1985 (et ne sortira un album que 6 ans plus tard) et qualifie lui même son style de "country-fed punkabilly"... Avec Reverend Horton Heat la boucle est bouclée !
Concernant Country Dick Montana effectivement c'est la figure qui se dégage de la scène (leader des Beat Farmers).
La scène cowpunk a ensuite effectivement fait des adeptes un peu partout aux Etats-Unis...
Bon finalement je crois que je vais le faire ce papier sur le cowpunk !
Frank
Ben j'espère que tu n'oublieras pas Elvis Hitler ;)
RépondreSupprimercool ! je regrette pas mon relatif HS ;°)
RépondreSupprimerpour l'expliquer un peu, quand tu te balades un peu sur le net à propos du cowpunk (Wikipedia par ex, mais aussi des trucs comme http://www.cowboysindians.com/art-entertainment/music/2010-06/cowpunk2.jsp ) tu vois les Long Ryders et Green on Red régulièrement cités comme groupes cowpunks avec "their roots in the Paisley Underground"... que donc je suis curieux du rapport et de la distinction entre les deux.
80-85, duh, c'est un peu restrictif quand même, non ? Les Beat Farmers sont actifs de 83 jusqu'à la mort de Country Dick Montana en 95 (et son chouette album posthume), le "Texmex-blues-abilly" de Billy Bacon démarre début 90's...
j'y reviendrais... :-)
RépondreSupprimerPour l'heure j'essaye de finir le volume 2 du Paisley pour une parution vendredi avant de partir (serein) en w-e !
J'ai la possibilité d'acheter pour pas cher l'album des long ryders :two fisted tales.
RépondreSupprimerQu'en est t-il? Il vaut le coup? J'ai écouté un peu, ça a l'air sympa.
Moins essentiel que les deux premiers mais ça reste de la bonne came!
RépondreSupprimerMerci du conseil.
RépondreSupprimerSalut ,
RépondreSupprimerJe viens de trouver en lp un autre album de grenn on red (ça m'en fait 4), the killer inside me pour 8e, qu'en est-il de celui-là? Et j'ai vu il y a quelques jours le danny and dusty, il faut juste que je me rappelle où...
Encore bravo pour le dossier.
ça fait un petit moment que je le cherche celui-là ! C'est celui produit par l'excellent Jim Dickinson...
RépondreSupprimerBonne pioche !
Frank
Salut,
RépondreSupprimerJe l'ai finalement trouvé le danny and dusty au fin du magasin dans un carton, même pas rangé, et attention pour même pas un euro, autre bonne nouvelle j'ai pû trouvé en même temps, un lp des cowboy junkies, trinity sessions qui m'a littéralement scotché, tellement tout l'album est beau. Il faut les classer où ceux-là?
A plus.
A et j'allais oublier , le GOR, the killer inside me, est très très bien aussi , très stonien dans l'attitude et la musique, il me fait penser à un genre d'exile on main street pour les GOR, je te le conseille aussi.
RépondreSupprimerLe Danny & Dusty pour moins d'un euro là j'hallucine !
RépondreSupprimerConcernant les Cowboy Junkies, il sont canadiens et c'est un groupe du milieu des années 80. Comme personne ne savait trop où les mettre on les a rangé dans le courant alternative country. Faut simplement admettre que c'est un groupe unique, The Trinity Sessions un disque admirable, d'une beauté à couper le souffle.
Frank
En effet concernant les cowboys junkies, rarement j'ai rencontré une musique qui te touche à ce point dès la première écoute, la dernière fois, c'était avec sigur ros.
RépondreSupprimerIls ont vendu beaucoup d'albums? Ou sont justes reconnus par quelques personnes? En tout cas ils méritent une recnnaissance vu la qualité de ce qu'ils font.
J'ai eu de la chance sur ce coup là de trouver le lp et j'espère que comme avec les GOR, il y en aura d'autres.
Pas encore écouté le D and D, je te dirai ce que j'en pense.
cyril
Bonjour, a la recherche d infos sur les long ryders je suis tombe sur votre blog et je vous felicite! merci pour l anonyme qui m a donne l info sur le magasin plus de bruit dont j ignorais l existence. une dernier chose concernant green on red, j ai toujours une petite preference pour gas food lodging . sur ce bonne continuation claudio
RépondreSupprimerTout d'abord merci et j'espère que tu trouveras de la matière à découverte sur ce blog, on y travaille !
RépondreSupprimerSi tu aimes les Long Ryders je te conseille l'écoute également du premier Beat Farmers dont on parle dans le premier volet consacré au cowpunk.
Sinon à Paris au Silence de la Rue tu pourras trouver quelques disques du Paisley Underground. J'y ai vu il y a peu les 2e et 3e Dream Syndicate à 11 et 12 euros en vinyle...
Frank
C EST ETRANGE MAIS J AIME UN PEU MOINS LES BEAT FARMERS..... A PROPOS DES DREAM SYNDICATE THE LOST TAPES AVEC CACAVAS AU CLAVIERS EST UN EXCELLENT ALBUM!!!!
RépondreSupprimerAprès quelques green on red et avant le 1er dream syndicate que j'ai commandé en réedition, je viens de trouvé par le plus grand des hasards, le 3ème album du dream, qui est descendu par rapport aux deux premiers et je peux témoigner que cet album est une grosse claque dans la tronche et après plusieurs écoutes en boucles ce qui est rara pour moi, et bien, il est super et je le conseille fortement.
RépondreSupprimer