Arrivé à 21h on assiste à la fin de la prestation de Marissa Nadler, folk acoustique, voix haut perchée. Trop peu de morceaux pour juger.
(http://www.myspace.com/songsoftheend)
Puis c'est la montée sur scène pour Jesse Sykes & The Sweet Hereafter, et là c'est la claque... Malgré les échos positifs recueillis ça et là on n'avait pu se pencher sur le cas de la folkeuse.. A tort, reconnaissons le... Synthèse brillante du folk de Dylan, de l'americana de Neil Young mais aussi des Stones période Sticky Fingers/Exile on Main Street, Jesse Sykes et son groupe surprennent par la profondeur des compositions, l'entrain dégagé et la qualité des musiciens et notamment un guitariste tout feu tout flamme, dont le jeu fait irrémédiablement penser à Mick Taylor (vous savez, le meilleur guitariste que les Stones aient jamais eu!).
Ce fut un live plein d'émotions comme en apporte souvent le folk mais empreint d'une énergie rock dévastatrice. Ce fut bon, ce fut chaud... que demandez de plus? Rien... si ce n'est avoir l'occasion de revoir le groupe en tête d'affiche.
(http://www.myspace.com/jessesykes)
Après un tel concert on se dit que la tâche va être rude pour Black Mountain et son prog-psych-rock (sic) qui doit autant à Black Sabbath (les riffs bien lourds), Deep Purple (l'orgue !!!) qu'à Jefferson Airplane et Grateful Dead.
Que nenni, le groupe (composé d'une chanteuse, un guitariste chanteur, un bassiste, un batteur et donc un organiste) démarre pied au plancher et pendant près d'une heure un quart nous en mettra plein les mirettes, ravageant dans le même temps nos esgourdes qui n'en demandaient pas temps.
Le plus surprenant c'est que Black Mountain arrive à donner ses lettres de noblesse à un genre décrié, le progressif en sachant en utiliser les oripeaux sans jamais recourir aux poncifs habituels (genre Yes...), le tout passé à la moulinette rock! La classe! Le concert sera aussi éblouissant que l'est le groupe sur disque, même si le live se prête encore plus à ce genre de musique. Le concert s'achèvera dans une jam lancinante, psychédélique à souhait,de plus de 10 mn, parsemée de larsens et d'accords subtils à l'orgue, rythmée par une basse vrombissante, avant que la batterie, par un rythme martial, ne soit le déclencheur d'un maëlstrom sonore finissant d'achever un public conquis, heureux d'être là.
(http://www.myspace.com/blackmountain)
Des soirées comme celle là on en redemande!
(Mr Rock)
(http://www.myspace.com/songsoftheend)
Puis c'est la montée sur scène pour Jesse Sykes & The Sweet Hereafter, et là c'est la claque... Malgré les échos positifs recueillis ça et là on n'avait pu se pencher sur le cas de la folkeuse.. A tort, reconnaissons le... Synthèse brillante du folk de Dylan, de l'americana de Neil Young mais aussi des Stones période Sticky Fingers/Exile on Main Street, Jesse Sykes et son groupe surprennent par la profondeur des compositions, l'entrain dégagé et la qualité des musiciens et notamment un guitariste tout feu tout flamme, dont le jeu fait irrémédiablement penser à Mick Taylor (vous savez, le meilleur guitariste que les Stones aient jamais eu!).
Ce fut un live plein d'émotions comme en apporte souvent le folk mais empreint d'une énergie rock dévastatrice. Ce fut bon, ce fut chaud... que demandez de plus? Rien... si ce n'est avoir l'occasion de revoir le groupe en tête d'affiche.
(http://www.myspace.com/jessesykes)
Après un tel concert on se dit que la tâche va être rude pour Black Mountain et son prog-psych-rock (sic) qui doit autant à Black Sabbath (les riffs bien lourds), Deep Purple (l'orgue !!!) qu'à Jefferson Airplane et Grateful Dead.
Que nenni, le groupe (composé d'une chanteuse, un guitariste chanteur, un bassiste, un batteur et donc un organiste) démarre pied au plancher et pendant près d'une heure un quart nous en mettra plein les mirettes, ravageant dans le même temps nos esgourdes qui n'en demandaient pas temps.
Le plus surprenant c'est que Black Mountain arrive à donner ses lettres de noblesse à un genre décrié, le progressif en sachant en utiliser les oripeaux sans jamais recourir aux poncifs habituels (genre Yes...), le tout passé à la moulinette rock! La classe! Le concert sera aussi éblouissant que l'est le groupe sur disque, même si le live se prête encore plus à ce genre de musique. Le concert s'achèvera dans une jam lancinante, psychédélique à souhait,de plus de 10 mn, parsemée de larsens et d'accords subtils à l'orgue, rythmée par une basse vrombissante, avant que la batterie, par un rythme martial, ne soit le déclencheur d'un maëlstrom sonore finissant d'achever un public conquis, heureux d'être là.
(http://www.myspace.com/blackmountain)
Des soirées comme celle là on en redemande!
(Mr Rock)
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