L'univers de Kevin Ayers, les harmonies à la Brian Wilson, font merveille sur des pépites comme « Everything Begins », « Tintinnabulation » ou « Morning Sun ». Comme tout songwriter américain l'héritage du Velvet est aussi bien présent (« The Birmingham Eccentric ») mais ce Kelley Stoltz n'a pas son pareil pour pondre des petites scénettes aux sonorités parfois étranges vaguement psychédéliques (« Gardenia »), tout simplement folk (« Put my troubles to sleep » ; « Something More ») ou kinksiennes en diable (« your reverie »). A l'image d'un Robert Wyatt ce disque s'adresse à l'âme (« You alone ») et touche au coeur, à condition de bien vouloir se laisser embarquer dans cet univers quelque peu onirique (« Mother Nature »).
Un disque comme on en fait plus, et c'est bien dommage...
(Mr Rock)
http://www.myspace.com/kelleystoltz
Un disque comme on en fait plus, et c'est bien dommage...
(Mr Rock)
http://www.myspace.com/kelleystoltz
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