L'album s'ouvre sur une pièce magnifique, l'enchanteur « Torn blue foam couch ». Fini le courant americana, Matt Brooke dévoile sa fascination pour les mélodies pop californiennes entre Buffalo Springfield, Byrds et Mamas and Papas.
L'album n'est jamais mauvais et contient ses bons moments (« Index Moon » ; « Sleepdriving ») et de bonnes idées (le banjo sur « Breezy no brezy » par exemple).
Malheureusement l'ensemble souffre d'un véritable élan comme si Matt Brooke n'était pas lui même convaincu par ses morceaux.
Et c'est décevant car cet album a une âme, on sent bien que le talent est là, mais jamais on ne se sent véritablement emporté.
(Mr Rock)
http://www.myspace.com/grandarchives
L'album n'est jamais mauvais et contient ses bons moments (« Index Moon » ; « Sleepdriving ») et de bonnes idées (le banjo sur « Breezy no brezy » par exemple).
Malheureusement l'ensemble souffre d'un véritable élan comme si Matt Brooke n'était pas lui même convaincu par ses morceaux.
Et c'est décevant car cet album a une âme, on sent bien que le talent est là, mais jamais on ne se sent véritablement emporté.
(Mr Rock)
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