Venus du Nebraska, et agés d'une vingtaine d'année et potes des géniaux Black Keys (d'ailleurs le producteur n'est autre que Dan Auerbach), les Brimstone Howl revisite le blues à la sauce garage avec une maîtrise étonnante... et détonante.
Dès le riff de « Bad Seed » qui ouvre ce brûlot, on se rend compte que ces quatre là ont tout compris.
Riffs énormes, groove imparable, l'album va crescendo atteignant des sommets de sauvagerie en face B (« Tomahawk » ; « Cyclone Boy »), agrémentant l'album de pur moment blues que n'auraient certainement pas renié les plus grands (« Luck of the spade » ; « Six and seven »). Rien à jeter dans cet album parfait qui s'impose comme un classique absolu pour tout fan de blues et de garage.
Seuls 3 morceaux dépassent les 3'00'', car le maître mot reste l'urgence. Radio Birdman comme Howlin'Wolf peuvent être fiers de ces rejetons : l'héritage est entre de bonnes mains.
Avec un tel album on se remet à espérer, le rock'n'roll se porte bien, merci pour lui!
(Mr Rock)
Dès le riff de « Bad Seed » qui ouvre ce brûlot, on se rend compte que ces quatre là ont tout compris.
Riffs énormes, groove imparable, l'album va crescendo atteignant des sommets de sauvagerie en face B (« Tomahawk » ; « Cyclone Boy »), agrémentant l'album de pur moment blues que n'auraient certainement pas renié les plus grands (« Luck of the spade » ; « Six and seven »). Rien à jeter dans cet album parfait qui s'impose comme un classique absolu pour tout fan de blues et de garage.
Seuls 3 morceaux dépassent les 3'00'', car le maître mot reste l'urgence. Radio Birdman comme Howlin'Wolf peuvent être fiers de ces rejetons : l'héritage est entre de bonnes mains.
Avec un tel album on se remet à espérer, le rock'n'roll se porte bien, merci pour lui!
(Mr Rock)
apparament on a les mêmes gouts musicaux...
RépondreSupprimerC'est ce que je viens de constater en visitant ton blog ! excellent album ce Left Lane Cruiser !
RépondreSupprimerQuand au Radio Moscow sa chronique devrait intervenir dans les semaines qui viennent !